L'AFFAIRE DU PASSAGE A NIVEAU DU PONTET

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L'"affaire" du PN du Pontet...

Parmi les installations fixes les passages à niveau pourraient à eux seuls faire l'objet d'un chapitre complet, tant leur histoire est variée et mouvementée... Ils représentent un "monde" à eux seuls. Monde où vivaient de nombreuses familles cheminotes. Classés, en fonction de leur fréquentation, en diverses catégories ils sont équipés de barrières roulantes ou pivotantes, puis oscillantes dans les années d'après guerre. La plupart sont enfin supprimés ou munis de barrières à commande automatique. Pratiquement chacun des nombreux P.N. Vauclusiens se trouvait pourvu d'une maisonnette, dans laquelle logeait la famille de la garde barrières. Il est à noter que l'ensemble des lignes représentait un nombre impressionnant de passage à niveau (109 recensés en 1881! ... plus de 150 au total au maximum du développement) dans le département, parfois à peine éloignés les uns des autres que de quelques centaines de mètres...

Interface obligatoire entre deux mondes antagonistes, ceux de la route et du rail, ils sont dès leur mise en place, et sont encore pour les derniers exemplaires, le lieu de tous les dangers. Points de "tensions" entre les utilisateurs des deux modes de transport, points sensibles en matière de sécurité. Ils seront l'objet de multiples demandes de suppression ou de modernisation de la part des collectivités locales, des Compagnies et des usagers, tout au long de leur carrière.

Ainsi, par exemple, le P.N. du Pontet va représenter dés sa mise en place un réel handicap à la circulation. Il est ouvert provisoirement dés le second semestre de 1853, afin de protéger les trains de ballast circulant sur le chantier de pose de la voie (la Cie. L.L.M. demande également à la même époque l'accord pour déviation de la Route Royale n°7 à Mondragon pour le même motif).

Toutes les communes riveraines de l'important axe de circulation que constitue la Route Royale N°7 vont se plaindre des dispositions prises unilatéralement par la compagnie, en 1855, au sujet des passages à niveau de première classe. La décision de laisser les barrières fermées en permanence, et de ne les ouvrir qu'à la demande des voituriers, sacrifiant la route au bénéfice du rail, va gêner considérablement la circulation, au passage à niveau du Pontet. Le fait de n'ouvrir les portes que cinq minutes avant l'horaire du train pour les voitures, deux minutes pour les piétons et quinze minutes pour les troupeaux y occasionnait des attentes souvent fort longues (surtout si, par malchance le train annoncé était un long et lourd convoi de marchandises, si une seconde circulation était prévue en sens inverse, si les manoeuvres en gare du Pontet engageaient le P.N., ou si le train prévu avait du retard...), de l'ordre, suivant les pétitionnaires Sorguais, "de la moitié de la durée du trajet de Sorgues à Avignon avec un bon cheval.". L'ingénieur des P&C fera, lui aussi, un rapport dans le même sens, le 21 novembre 1855. Nous ne pouvons résister au plaisir de vous en livrer un extrait : "En fait, cette nouvelle organisation a de profonds inconvénients pour la circulation sur les routes. Qu'une voiture se présente moins de cinq minutes avant le passage normal d'un train, on refusera de la laisser passer. Le gardien, fidèle à sa consigne, n'ouvrira la barrière qu'après l'arrivée du convoi. Si donc celui-ci a un retard quelconque, la voiture devra en souffrir et attendre parfois une demi heure, tandis qu'aujourd'hui la traversée de la voie ferrée ne pouvait lui faire perdre plus de cinq minutes. Le nouveau service que l'on demande aux gardes barrières ne peut être d'ailleurs fait avec exactitude; peut-on espérer qu'ils resteront constamment hors de leur maison, quelque temps qu'il fasse. Il faudra, neuf fois sur dix, les appeler pour se faire ouvrir et, quelque zèle qu'ils déploient, la circulation sera gênée, si elle peut toutefois se faire sans accident. Un voyageur au courant de la consigne se fera livrer le passage, mais qu'on mette à sa place un habitant des montagnes qui l'ignore, si le garde n'est pas à son poste, il attendra patiemment qu'on lui ouvre à moins qu'un homme plus avisé ne vienne le tirer d'embarras..."

Le "fameux" passage à niveau du Pontet. Le tramway (avec sa remorque "buffalo") qui se dirige vers Sorgues s'apprête à emprunter la rampe qui lui permettra de passer sous les voies de la grande ligne du P.L.M.. Les barrières sont tournantes et manoeuvrées à la main.

Cette initiative de la compagnie des chemins de fer n'étant pas, en effet, conforme au cahier des charges, la situation est rétablie normalement (barrières fermées avant l'arrivée du train et ouvertes le reste du temps) à la demande du ministère. Il est vraisemblable que le P.L.M. ait par la suite, à nouveau, modifié le mode de gardiennage du P.N. du Pontet. En 1887, la chambre de commerce d'Avignon demande à la compagnie de procéder au plus vite à la suppression radicale de ce passage à niveau provoquant des retards importants. On comptait alors de cinquante à cinquante neuf trains journaliers, soit deux et demi par heure. Le nombre des circulations, ajouté à celui des manoeuvres en gare, conduisait encore à une période cumulée de six heures de fermeture par jour. Sur la route, la fréquentation était estimée à trois cent cinquante-deux "colliers" par vingt-quatre heures. Le P.L.M. refuse de réaliser ces coûteux travaux et répond par une "amélioration" du service. Il est à la place notifié à la gare du Pontet, outre de limiter autant que possible, le nombre des manoeuvres, mais aussi de limiter la longueur des convois. De plus, la gare de Sorgues se doit d'avertir "sûrement", par deux ou trois tours de manivelle (du télégraphe) la gare du Pontet, du passage ou du départ des trains. Le trajet durant environ quatre minutes, cela suffit pour prendre les mesures de fermeture appropriées. Enfin, Orange se devait d'avertir Sorgues de tout retard. En 1875, et se faisant l'écho de nombreuses réclamations, une nouvelle demande de suppression du P.N. est déposée par la chambre de commerce.

En 1890, le P.N. 431 du Pontet fait encore parler de lui. Il est alors équipé de demi barrières rotatives ouvrant... coté route. Ceci ne va pas sans poser quelques problèmes de manipulation. Ces barrières sont finalement déplacées et modifiées pour que l'ouverture s'effectue coté voies...

Après la première guerre le P.N. du Pontet reste un point noir. Il est rappelé au P.L.M. par le conseil municipal d'Avignon, que les barrières de ce passage à niveau sont quasiment démolies en permanence à cause des fréquents et multiples accidents s'y produisant. Faute d'obtenir de la Cie. le remplacement de ce P.N. par un pont route, le conseil municipal émet le 16 juillet 1927, le voeu d'un éclairage nocturne un peu plus performant.

Deux ans plus tard, le 28 juillet 1929, un accident terrible se produit au P.N. du Pontet. Trois personnes perdent la vie dans cette tragédie! Immédiatement, de nombreuses communes émettent de vives protestations. Plus personne ne veut supporter les embouteillages permanents, les pertes de temps, et surtout l'insécurité de ce lieu. Des projets de transformation en passage inférieur, comme pour le tramway, sont présentés en 1931. L'enquête réalisée du 12 au 19 avril y est favorable, mais la dépense évaluée à 3 566 000 Fr., ne peut être prise en compte par la commune et le département. Finalement, le 7 juin 1933, le ministère décide de conserver le P.N. dans son état, avec utilisation possible de passage inférieur du tramway en secours et diverses améliorations au chemin vicinal ordinaire n°3 pour déviation d'une partie de la circulation!!!

La guerre passe et les soucis sont d'un tout ordre... Ils reviennent avec la paix et l'accroissement de la circulation routière... En 1951 il fait l'objet de vives critiques dans la presse, suite à de nombreux accidents...

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Au Passage à niveau du Pontet (près d'Avignon)
LA MORT A FROLE CINQUANTE ENFANTS

Rempli d'écoliers un car qui s'était engagé sur la voie par erreur, n'évite que de justesse un train lancé à 100 à l'heure.
Avignon 7 février (C.P.)

Une catastrophe a failli se produire hier matin, au redoutable passage à niveau du Pontet, au croisement de la voie ferrée P.L.M. et de la RN 7. Il était 7 h 23 exactement et le jour n'était pas encore levé. Le garde barrières M Crumière, qui venait d'être averti par les sonneries du poste que le train de messageries 45 671 était en vue, baissait les barrières lorsqu'il aperçut un camion venant de la direction de Sorgues et appartenant à la maison Pellegrin, primeurs, d'Orange, qui approchait du passage à niveau à vive allure et semblait vouloir s'engager sur les voies bien que les signaux rouges annonçant le train fussent allumés et que la barrière fût au trois quarts baissée.

Effectivement le camion enfonça la barrière et vint s'arrêter au milieu de la voie, devant la seconde barrière qui était fermée complètement.
A ce moment le garde barrières se trouva en face de trois solutions: ou bien il ouvrait la barrière et laissait le passage au camion, ou bien il faisait fonctionner les signaux d'arrêt et s'efforçait s'il était encore temps de stopper le train qui arrivait à cent à l'heure, ou bien encore il se portait au devant des véhicules venant de Sorgues et les préservait du danger, mais en sacrifiant le camion engagé sur la voie.
M Crumière choisit la première solution en espérant qu'aucun véhicule ne s'engagerait sur la voie pendant la manoeuvre. Il ouvrit la barrière et le camion de primeurs passa... mais ce qu'il craignait se produisit: un car de la Société des cars du Sud Est ,conduit par le chauffeur Michel d'Avignon, s'engagea sur les rails, bien que les signaux rouges fussent toujours allumés.
Devant l'effroyable danger que courait le car, dans lequel se trouvaient cinquante élèves des Lycées d'Avignon habitant Sorgues, M Crumière n'eut plus qu'une ressource: Il fit signe au chauffeur de se hâter. Celui ci obtempéra sans bien comprendre l'injonction qui lui était faite et accéléra.
Il était temps. A peine le car avait-il traversé la voie sur laquelle arrivait, à cent à l'heure, le train de messageries, que celui ci passa, à trois mètres seulement du car.
Grâce au sang froid du garde barrières et à une chance inouïe, la catastrophe était évitée.
On devine l'émotion des passagers du car lorsqu'ils réalisèrent qu'ils venaient de très peu d'échapper à la mort.


LE PASSAGE A NIVEAU DU PONTET DOIT ETRE SUPPRIME

On lira par ailleurs comment une catastrophe a pu être évitée de justesse, hier matin au passage à niveau du Pontet.
Lorsqu'il fut mis au courant de l'événement, le maire de Sorgues, M Ravier Alfred, effectua une démarche auprès de la S.N.C.F. pour tenter une fois de plus de faire supprimer le dangereux passage à niveau du Pontet qui a hélas, jusqu'ici fait trop parler de lui.
Cette mesure s'impose d'urgence. Elle n'est pas du ressort de la S.N.C.F., comme on le croit généralement, mais des pouvoirs publics, dont l'attention a déjà été attirée à plusieurs reprises sur le passage à niveau du Pontet.
D'autres accidents se produiront inévitablement à cet endroit malgré la bonne volonté de cheminots et malgré les précautions prises.
Ces dernières, il faut le dire en passant, bien que ne présentant une garantie de sécurité suffisante, sont nombreuses. Elles se révéleront à nouveau défaillantes, notamment au cours de la saison d'été, durant laquelle on enregistre parfois le passage de 80 véhicules dans l'heure.
Le passage à niveau du Pontet doit être supprimé.


APRES L'AFFAIRE DU PASSAGE A NIVEAU DU PONTET

Survenant après le tragique accident du Thor qui coûta la vie à quatre personnes, l'affaire du passage à niveau du Pontet a provoqué une profonde émotion dans notre région. Chacun s'étend que les effroyables conséquences qu'aurait pu avoir l'accident s'il s'était produit et réclame la suppression du sinistre passage à niveau.
Il y a longtemps déjà que l'opinion publique s'est élevée contre le maintien de ce qui n'est rien d'autre qu'un carrefour de la mort. Et cette opinion s'étonne à juste titre que le démarches qui ont été effectuées jusqu'ici pour obtenir la disparition du passage à niveau n'aient pas eu plus de succès. Faudra t-il qu'un accident grave comme celui qui a failli se produire l'autre jour survienne pour que l'on prenne enfin les mesures qui s'imposent?
Sans doute objectera t on que le maximum de précautions a été pris pour éviter les accidents et que ceux ci, théoriquement parlant, ne peuvent se produire. On ajoutera sans doute que les automobilistes sont imprudents et qu'ils s'engagent sur les voies même lorsque les signaux jaunes ou rouges, qui annoncent le passage prochain d'un train et la fermeture des barrières, sont allumés. Ce point de l'argumentation des service publics est justifié: les automobilistes sont imprudents. Mais si on supprimait la cause essentielle des accidents qui se sont produits ou qui sont susceptibles de se produire, n'en supprimerions nous pas les effets?
Par ailleurs, peut on répondre à ceux qui demandent la suppression des passages à niveau (nous n'avons pas été les derniers à le faire) que l'ouvrage dont la construction devient d'une nécessité impérieuse ne peut être édifié pour des raisons d'économies?
Certainement pas. Sans compter la perte irréparable et incalculable que représente la perte de cinquante écoliers il semble que le volume des indemnités et des pensions que la S.N.C.F. aurait été obligée de payer, si l'autre jour l'accident s'était produit, se serait révélée de bien supérieure à la somme à la construction du passage supérieur, construction qui est envisagée depuis longtemps à la S.N.C.F..
A notre avis, on n'a pas le droit, pour éviter une dépense de quelques dizaines de millions, d'exposer la vie cinquante enfants (comme ce fut le cas l'autre jour) et de bien d'autres encore.
Espérons que cette fois, notre appel ne restera pas sans échos et que nous n'aurons pas à attendre le grave accident qui se produira inévitablement tôt ou tard, pour obtenir enfin que satisfaction soit donnée aux usagers de la route, prudents et imprudents compris, dont nous nous faisons l'interprète aujourd'hui.

Robert Joly

NDLR Une erreur s'est glissée hier dans le texte de notre article relatant l'affaire du Pontet et nous a fait dire qu'il passait parfois, pendant la saison d'été, jusqu'à 80 automobiles à l'heure. En fait c'est de 800 automobiles qu'il s'agissait...


DE NOUVEAU DISPOSITIFS DE SECURITE SONT INSTALLES AU PASSAGE A NIVEAU DU PONTET

A quelque chose malheur est bon. L'accident manqué du PN du Pontet que nous avons signalé en son temps à nos lecteurs et au cours duquel cinquante écoliers de Sorgues échappèrent par miracle à la mort, a décidé les pouvoirs publics à rechercher de nouveaux moyens permettant d'assurer la sécurité des usagers de la RN.
Déjà certaines améliorations ont été apportées. Au nombre de celles ci on relève que les barrières s'ouvrent désormais en quinconce de façon à laisser sortir de la zone dangereuse les voitures déjà engagées sur les rails. La manoeuvre inverse se produit lorsque le train est passé. A signaler également que lorsqu'un convoi approche du Pontet, un signal lumineux jaune fonctionne automatiquement, en même temps qu'est enclenchée la première sonnerie dont le rôle est d'alerter le garde. Lorsque celui ci baisse les barrières, deux feux rouges superposés (un placé à l'attention des camions, l'autre des automobilistes) s'éclairent.
Par ailleurs, la S.N.C.F. a fait installer deux puissant phares dont le rôle est d'éclairer les barrières la nuit et à fait délimiter sur la chaussée une zone de sécurité dans laquelle les véhicules automobiles devront circuler et ne pas se doubler.
Ultérieurement les Ponts et Chaussées vont placer de chaque coté de la voie ferrée et à environ 50 mètres de celle ci, des signaux clignotants prévenant les automobilistes de l'arrivée des trains.
Théoriquement, nous a-t'on affirmé, aucun accident ne peut plus se produire au passage à Niveau du pontet, sauf si par exemple, un véhicule s'immobilise au milieu des voies à la suite d'une panne ou si les systèmes de signalisation étaient mis hors d'état de fonctionner par des avaries relevant du sabotage.
Acceptons en l'augure et espérons, malgré les assurances qui nous ont été donnée, que la S.N.C.F. réussira à faire aboutir les projets de construction d'un passage routier supérieur capable enfin d'offrir une sécurité totale aux automobilistes.


VA T-ON ENFIN SUPPRIMER LE PASSAGE A NIVEAU DU PONTET?

On a essayé d'améliorer la sécurité des automobilistes en installant au pontet un ensemble de systèmes qui parait-il, permettent d'affirmer qu'aucun accident ne peut plus se produire à cet endroit sauf en cas de sabotage.
C'est ainsi que les barrières se ferment désormais en quinconce (ce qui permet aux automobilistes engagés sur les voies, de sortir de la zone dangereuse) et que différents et puissants feux rouges et projecteurs avertissent les conducteurs de l'arrivée prochaine des trains.


Nouvel accident au passage à niveau du pontet.

Ne tenant pas compte du feu rouge une automobiliste se jette sur la barrière.

Le Provençal a relaté dernièrement les circonstances dans lesquelles un très grave accident fut évité de justesse au passage à niveau du Pontet. L'inobservation du feu rouge placé de part et d'autre du passage à niveau en était la principale cause.
Hier, vers 12 h 45, un accident s'est produit pour la même cause. Une voiture Renault, pilotée par Mme Morazanni, domiciliée à Sorgues, au quartier les Moirizards, allait en direction de Sorgues sur la route nationale.
Ne tenant pas compte du feu rouge, la conductrice engagea son véhicule sur la voie ferrée au moment où le garde barrières actionnait le système de fermeture du passage à niveau. La voiture passa sous la première barrière, mais lorsqu'elle voulut sortir, la deuxième était fermée. le choc inévitable se produisit. la voiture heurta la barrière qui endommagea le capot et vint percuter le pare brise. Par bonheur, la conduite se trouvait à droite et M Morazanni ne fut que légèrement blessée au visage par des éclats de verre et souffre de contusions.
Le passage a été interrompu pendant 1 heure 20 sur la route et les véhicules durent emprunter le chemin qui évite le passage à niveau. La voiture a subi de nombreux dégâts.

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LE PROVENCAL... Archives Départementales de Vaucluse.


En 1955, le P.N. du Pontet est enfin supprimé et remplacé par un passage supérieur... En 1957, les 5 premiers P.N. automatiques, non gardés, avec demi barrières et signalisation lumineuse, apparaîssent en Vaucluse...

La modernisation de la ligne "impériale" et le relèvement de la vitesse limite des circulations (V200), conduisent la S.N.C.F. et les collectivités locales à "éliminer" 18 P.N. (Assemblée Départementale d'accord pour investissement de 20 MF. le 15/1/1981. 18 P.N. sur ligne PLM + 5 sur ligne Avignon-Salon).
Ainsi, entre 1982 et 1986, les P.N. N°403 404 405 (Lapalud), 408 (Bolléne) 410 et 412 (Mondragon) 413 (Piolenc) 416 417 418 419 420 (Orange) 421 422 423 424 (Courthézon) 425 (Bédarrides) 429 (Sorgues), 432 433 (Le Pontet) ainsi que les P.N. 2 (Avignon).

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Les documents et photos illustrant cet article sont issus de la collection JL Bézet et archives départementales de Vaucluse.



08/12/2007
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