LA LIGNE DE PERTUIS.. DOCUMENTS
"L'AFFAIRE" DE LA COORDINATION DES TRANSPORTS ENTRE AVIGNON ET PERTUIS
La suppression du service des voyageurs sur la ligne de Pertuis et surtout son remplacement par des solutions totalement irrationnelles, on été à l'origine d'un important d'encarts dans la presse... En voici un extrait...
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Chemins de fer Avignon le 28 juillet 1872
M le Maire de Cavaillon Par suite de l'ouverture prochaine de la ligne de Pertuis je pourrais disposer de quelques emplois d'ouvriers poseurs sur votre commune. La 3éme classe de poseurs gagne 70 Fr par mois et logé. une indemnité de 10 fr est en outre allouée à la femme pour la surveillance du passage. Je vous prie de répandre cet avis dans votre commune et d'informer les candidats s'il y en a. Je recevrai leurs demandes sur votre présentation d'ici au 15 octobre prochain. Il est inutile de nous adresser aucune autre piéce qu'une demande visée par vous. Veuillez agréer Monsieur le Maire l'assurance de ma considération. Le chef de section de la voie.
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Document A.M . CAVAILLON
PERTUIS
L'ACTION DE NOS ELUS
La compagnie Nationale de Chemins de Fer Français avait demandé la suppression des trains de voyageurs sur la ligne Cavaillon Pertuis et cette demande avait été acceptée par le Comité Départemental de Coordination des transports. L'assemblée départementale était appelée samedi dernier à se prononcer définitivement sur cette question. Notre conseiller général a signalé immédiatement le tort considérable qu'une telle mesure apporterait à nos populations, non seulement au point de vue du commerce local, mais au point de vue agricole, car nul n'ignore que ces trains sur cette ligne sont surtout des trains de messageries rapides qui assurent l'expédition régulière sur les centres de consommation français et étrangers des primeurs de lavallée de la Durance et des fruits de la vallée d'Aigues. Secondée par son collègue du canton de Cadenet, notre représentant obtint entière satisfaction et le Conseil Général décida le maintien de la ligne Pertuis Cavaillon au service des voyageurs.
Avisé d'autre part que le Conseil Général des Basses Alpes avait décidé la suppression des trains omnibus sur la ligne Pertuis-Veynes, ce qui entraînait la fermeture de la gare de Mirabeau au service des voyageurs, M Bonnaud obtint immédiatement qu'un service de cars journalier sera créé pour relier la région de Mirabeau à Pertuis.
Nous félicitons notre dévoué Conseiller Général, M Bonnaud, pour l'ardeur qu'il apporte à la défense des intérêts qui lui sont confiés et le succès de ses interventions en faveur des inertes des commerçants, agriculteurs, producteurs de primeurs et de fruits et de la population tout entière de la région.
Article du PETIT PROVENçAL 23 Mars 1938
A insérer en chronique régionale
SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER FRANCAIS APPLICATION DU PLAN DE COORDINATION des transports du VAUCLUSE A partir du 2 octobre prochain, par application du plan de coordination des transports du Vaucluse, les trains de voyageurs et autobus T.P.L.M. de remplacement des trains, désignés ci après seront supprimés: 1° ligne AVIGNON CAVAILLON PERTUIS Au départ d'Avignon : - tr. 2837 (dep. 11 h 10)- AVIGNON-MIRAMAS Au départ de CAVAILLON : - tr. 2834 (dep. 7 h 58)- MIRAMAS-AVIGNON Au départ de PERTUIS : - tr. 2904 (dep. 5 h 50) °°°°°°°°°°°°° Des services routiers de remplacement fonctionneront à partir de la même date sur toutes les sections de ligne, dans les conditions d'horaires et de prix approuvées par le COMITE TECHNIQUE DEPARTEMENTAL DES TRANSPORTS DU VAUCLUSE. Ces horaires et ces conditions sont affichées dans les gares du parcours. Consultez les. Il est précisé que les voyageurs porteurs d'un billet de chemin de fer à plein tarif, ou d'un billet à prix réduit délivrés en vertu d'un tarif, pourront emprunter des navettes du service AVIGNON-CAVAILLON-PERTUIS sans payer de supplément, à la condition de se munir au préalable, à la gare de jonction fer-route, d'une contremarque dont la délivrance est gratuite. Dans tous les autres services, les billets fer ne sont pas valables. ================================ VALENCE LE 30 septembre 1938 Transmis à Mr le directeur du journal........
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Dans un article, paru dernièrement dans nos colonnes, il était demandé par un groupe d'usagers des voies ferrées, qu'une navette "voyageurs" relie les deux gares de Cavaillon et Pertuis , de façon à ce que les voyageurs arrivant à Avignon par différents trains n'aient pas à attendre trop longtemps dans cette localité pour se diriger sur Cavaillon et au delà en direction de Pertuis.
Nous ferons remarquer qu'il existe plusieurs directions de voies fermées en gare de cavaillon. Ce sont Avignon Apt et au delà, Pertuis, Miramas, Berre, Marseille et Orange par Carpentras.
Nous demandons s'il ne serait pas possible à la S.N.C.F. d'établir des navettes de voyageurs pour ces directions ayant une correspondance à Cavaillon.
Une navette comprenant plusieurs autorails pourrait partir d'Avignon, desservirait toutes les gares situées entre Avignon et cavaillon: un autorail serait dirigé sur Apt et au delà: un autre pourrait pourrait être dirigé sur Digne par Pertuis.
Un service d'autorails pourrait partir d'Orange par Carpentras et aurait la correspondance à Cavaillon avec ceux venant d'Avignon et pourrait être dirigé sur Marseille par Miramas, Port de bouc, l'Estaque et Marseille.
A noter qu'il existe déjà des services voyageurs Avignon-Marseille par Cavaillon, Miramas, Port de Bouc l'Estaque.
Est ce demander à la S.N.C.F. d'établir des navettes voyageurs que nous demandons?
Nous supposons qu'elles amélioreraient les moyens de déplacement des voyageurs, surtout si elles étaient établies en correspondance avec des trains s'arrêtant à Avignon ou Orange.
Il demeure entendu que si les navettes Orange-Carpentras-Cavaillon-Miramas-Port de Bouc-Marseille d'une part et Avignon-Cavaillon-Pertuis-Digne, avec une variante Cavaillon étaient établies il faudrait en prévoir le retour.
Nous espérons que la S.N.C.F. pourra donner satisfaction aux voyageurs de ces régions et l'en remercions d'avance.
Les journaux nous ont appris la mise en circulation tant attendue des autorails Avignon-Digne. Effectivement, quatre fois par jour on peut voir passer ces beaux véhicules qui prouvent ainsi qu'après 10 ans de fermeture la ligne Cavaillon-pertuis est toujours capable d'assurer un service voyageurs.
Malheureusement ce service a débuté et a été organisé d'une façon qui semble vouloir prouver le contraire. En effet, dans la période actuelle un service n'est maintenu que s'il n'est pas déficitaire autrement dit s'il jouit de la faveur du public.
Pour la ligne Cavaillon-Pertuis, les parties opposées au rail ont retardé le plus possible l'ouverture du trafic voyageur prévue pour le 14 mai. Par suite de difficultés rencontrées, les autorails n'ont pu circuler qu'à partir du 1 septembre, c'est à dire une époque où la grosse affluence des voyageurs est terminée et où par conséquent les trains ne roulent plus à plein, comme aux environs du 15 août.
Enfin, pour être certain qu'un service ne soit pas utilisé par les usagers, le meilleur moyen est de leur en interdire l'accès. c'est ce qui a été fait entre Cavaillon et Pertuis, de sorte que dans les gares intermédiaires personne ne monte ou ne descend.
Ainsi tout a été fait pour que les autorails circulent presque vides et cependant, malgré la date tardive et malgré l'interdit jeté aux gares intermédiaires, le nombre de voyageurs en transit transporté par chaque navette est assez élevé et prouve bien que ce service avait sa raison d'être et qu'il mérite, le 2 octobre prochain, d'être maintenu et amélioré.
Lorsqu'il sera connu d'un plus grand nombre d'usagers et lorsqu'il desservira toutes les gares, personne n'osera plus parler de déficit dans l'exploitation de la ligne.
Si certaines gares sont éloignées du village, il en est par contre qui, par leur situation et les pays qu'elles desservent fourniraient un nombre important de voyageurs. Tels est le cas de Cadenet (2 000 habitants) où d'ailleurs les quatre autorails ont un arrêt obligatoire pour croiser d'autres trains; L'admission des voyageurs à cette gare qui dessert plusieurs localités voisines dont Lourmarin, très connues des touristes et des estivants, offrirait aux usagers du rail, des facilités imbattables pour se rendre à Marseille, dans les Alpes, le Languedoc, la Vallée du Rhône et Paris.
Il est permis d'espèrerer que l'intérêt que les usagers continueront à porter au service Avignon-Digne finira par éliminer les entraves qui le paralysent. De leur côté, nos députés, nos conseillers Généraux, la Chambre de Commerce et les municipalités intéressées auront certainement à coeur de conjuguer tous leurs efforts pour qu'une décision soit prise au plus tôt en faveur des gares nos desservies, principalement celle de Cadenet.
La ligne Cavaillon-Pertuis renaît après une long sommeil. Elle aura vite montré sa vitalité si on lui permet de transporter tous les voyageurs qui sollicitent ses services.
Le voyageur qui débarque en Avignon dans la matinée et se renseigne sur les moyens dont il dispose pour se rendre à Pertuis ne manquera pas d'être surpris en apprenant qu'il doit attendre jusqu'au soir 17 h 30 pour avoir un car qui le conduira à sa destination. A pertuis, le voyageur qui arrive par la ligne des Alpes à 8 heures, se verra contraint également d'attendre le soir 16 h 30 le car qui le conduira vers Cavaillon et Avignon. Voilà l'état des communications dans cette partie de la vallée de la Durance, réputée pourtant comme étant la plus riche région de France.
Avant la guerre, Pertuis comptait cinq trains par jour sur Avignon. On pouvait partir ou arriver dans le milieu de la journée et des correspondances pratiques existaient avec les trains de la ligne Marseille-Grenoble. En 1940, par suite de la guerre, les trains ont été supprimés et remplacés par un service routier qui existe toujours mais qui n'assure que deux cars par jour dans chaque sens, le premier le matin et le deuxième le soir. Dans le courant de la journée il y a impossibilité totale de se déplacer.
Alors que les autres régions du département ont retrouvé largement les communications qu'elles avaient en 1938, on ne comprend pas pourquoi, cinq ans après la libération, la vallée de la Durance a toujours un service aussi restreint.
Evidemment, pendant certains mauvais jours d'hiver, il peut à la rigueur satisfaire une clientèle réduite, mais pendant les périodes d'affluence qui précèdent et suivent les jours de fête et surtout pendant une bonne partie de l'été, ce service est incontestablement insuffisant. Il manque au moins un départ dans chaque sens vers le milieu de la journée. Par ailleurs, les souvenirs de l'été dernier nous rappellent que les jours de grande affluence il serait indispensable de doubler chaque car, tout au moins sur la partie la plus fréquentée. Ces justes observations ont déjà été formulées par des organismes divers.
Puisqu'il en est ainsi, les usagers qui souffrent depuis longtemps de ce manque de commodité s'adressent à la S.N.C.F. et demandent le rétablissement partiel du trafic voyageurs sur la voie ferrée, Cavaillon-Pertuis, afin que soient réalisées les améliorations souhaitées. Ils ne pensent pas en réclamant cela aux trains à vapeur démesurés dont la mise en service est très onéreuseet la vitesse réduite, mais aux autorails beaucoup plus rapides et économiques. Une navette circulant dans le milieu de la journée remédierait à l'insuffisance des communications signalée ci dessus. Par ailleurs, maintenant qu'un rapide Paris-Marseille et retour passe par Cavaillon, la S.N.C.F. pourrait fort bien établir une correspondance par autorail entre ce train et Pertuis ce qui assurerait à la vallée de la Durance et aux basses Alpes des relations rapides avec la vallée du Rhône et la capitale.
A la gare de Pertuis passent dans chaque sens cinq trains par jour (dont deux express), sur Marseille, Grenoble, et Briançon. Avec le service routier actuel, ces trains n'ont pas de correspondance vers Avignon. Avec un service d'autorails sur cavaillon, cette grave lacune serait comblée et on pourrait aller de nouveau de Cavaillon jusqu'à Manosque ou à Digne par voie ferrée. Cette possibilité serait particulièrement appréciable à la belle saison lorsque de nombreux estivans se rendent dans les Alpes et dans la haute vallée de la Durance Enfin, avec l'appoint du chemin de fer, le voyage d'Avignon à Pertuis ne serait plus une appréhension e npériode d'affluence où trop de d'usagers se savent d'avance condamnés à effectuer debout une bonne partie du trajet.
Les autorails ont un grand nombre de places assises, et si, par exemple, une veille de fête celles ci se révèlaient insuffisantes, le profil palt plat de la ligne permettrait d'accrocher une remorque et doublerait la capacité du véhicule.
La voie ferrée est en bon état car plusieurs trains de marchandises l'utilisent chaque jour et puisque les gares ont conservé leur personnel et leurs installations, on ne voit pas pourquoi les autorails ne circuleraient pas sur cette ligne, dont les possibilités d'exploitation sont demeurées intactes, complétant ainsi le service routier insuffisant. Il faut espérer que l'autorité compétente tiendra compte de ces suggestions et qu'en 1950, la vallée de la Durance retrouvera enfin, après une interruption de dix ans, les moyens de communicaion qui sont indispensables.
UN GROUPE D'USAGERS DU LUBERON SUD
LES GRAVES INCONVENIENTS D'UN INUTILE (OU PRESQUE) RACCORDEMENT!
Nous avons publié hier un premier article sur ce que Pertuis et sa région qualifient d'"anomalie" du raccordement, sous ce titre: "LA REGION ET PERTUIS NE VEULENT PLUS ETRE PRIVES DE LEUR GARE", nous avons confirmé (malheureusement) à nos lecteurs que l'horaire d'hiver ne tenais pas plus compte de Pertuis que celui d'été.
Dépôt... pour motos et vélos, voilà ce que devient le dépôt S.N.C.F. petit à petit. pourquoi? Parce que ce sont là les moyens de transport de nos aiguilleurs qui, avec une conscience professionnelle digne d'éloges, font chaque jour, par n'importe quel temps, la navette des 4 km qui séparent Pertuis gare, du raccordement, pour donner la voie... qui évitera Pertuis. Premier départ à 5 h 45 pour attendre un premier passage à 6 h 16. Retour à Pertuis. Deuxiéme départ à 9 H 45 pour le passage de 10 h 42. Ici, temps mort jusqu'à 12 H 22. Que fait pendant ce temps notre aiguilleur spécialisé? (Nous insistons sur le terme...) Il attend, en grillant cigarettes sur cigarettes dans une guérite, avec tous les risques que cela comporte. Un des agents de la S.N.C.F. ne vient-il pas de passer trois mois dans un sanatorium pour avoir contracté un refroidissement, sur le ballast, exposé à toutes intempéries?
Après avoir donné la voie, notre homme à droit à rentrer à Pertuis pour déjeuner. Un nouveau service assure (départ vers 17 H 30) les passages vers 18 H 30, dans les deux sens puis, après un nouveau retour à Pertuis le dernier calvaire se situe vers 21 h 30 où il faut partir aiguiller le "Briançon" de 22 H 30. Vous trouvez cela compliqué n'est ce pas?
Et bien "eux" non! Les responsables ne tiennent compte de rien. Savez vous que le 14 juillet, un autorail venant de Marseille est monté à Pertuis (voyageurs) pour jumelage et que cette voiture est repartie absolument vide vers Meyrargues, alors que les voyageurs y ont été acheminés par le car pour aller à Meyrargues pour prendre ce même autorail veant... de Pertuis.
Saviez vous aussi que le 14 août, l'agent préposé à l'aiguillage à fait une chute de moto dans un endroit désert et obscur vers 22 heures et que le trousseau des 6 clefs s'est échappé de sa musette de notre aiguilleur sans que celui-ci s'en rende compte? A l'arrivée sur les lieux s'apercevant de la perte des clefs, il se mit en relation avec son chef de service en gare, afin que le train 1903 soit dévié sur ... Pertuis (heureusement que l'on n'a pas encore arraché les rails!).
Nous ne nous étendrons pas d'avantage sur les multiples inconvénients d'un raccordement qui n'a sa raison d'être qu'en cas de conflit ou de nécessité peu commune. Attend t-on une catastrophe pour lui donner sa véritable utilisation?
JF
LE PROVENCAL 1952 (A.D. VAUCLUSE)
TROP IMPORTANTE POUR ETRE DELAISSEE, NOTRE GARE DOIT, AU CONTRAIRE, CONNAITRE PLUS D'ACTIVITE.
Nous nous efforçons de tenir nos lecteurs sans cesse au courant des décisions, que nous espèrons bonnes, prises au sujet de la gare et dans l'intêret des usagers, des familles de cheminots et de notre ville de Pertuis en général.
Nous ne contesterons pas que le service routier effectuant la navette Pertuis Meyrargues et retour, trois fois par jour, revienne moins cher (environ 5 000 fr par jour) que la navette autorail. En tous cas, le meilleur moyen serait de ne pas en avoir besoin du tout!
S'il est vrai que les voies directes sont de plus en plus vulgarisées sur la ligne des Alpes (équipement de nombreuses gares réalisé ou en voie de réalisation) le gain de temps sur le simple trajet Aix-Manosque, sera de l'ordre de vingt minutes environ (surtout pour un train vapeur). Le passage à Pertuis constitue une augmentation d'horaire de 10 à 12 minutes. Alors! veut-on couper les cheveux en quatre?
Nous ne sommes pas grands prophétes, mais si au lieu de chercher à faire des économies en empêchant les candidats au voyage à emprunter le chemin de fer la S.N.C.F. voulait écouter une population désireuse de lui indiquer (en ce qui la concerne) comment diminuer son déficit (nous sommes plus modestes), les choses pourraient s'arranger et les quelques 150 familles de cheminots, autant de retraités, et tout ce qui s'y rattache pourraient replacer Pertuis au premier rang des gares S.N.C.F. de notre région.
Nous persistons à croire que notre gare est utile et viable et nous pardonnerions volontiers aux partisans du raccordement s'ils voulaient bien revenir sur leur décision et donner satisfaction aux usagers de toute notre région.
Mieux encore, une suggestion qui certainement pourrait être réalisée et rendrait de grands services serait le prolongement jusqu'à Pertuis des services quotidiens de la S.T.R.P. Draguignan/Meyrargues, ce qui par la récente mise en service du pont de la Durance, donnerait à cette ligne une importance capitale et permettrait à tous ses usagers une liaison avec Cavaillon/Avignon et la grande ligne de Paris.
JF
LE PROVENCAL 1952 (A.D. VAUCLUSE)
Le Dauphiné libéré 4 09 2001
(La Provence 4/5/2013) L'autorail qui redonne vie à la ligne Cavaillon - Pertuis.