LA LIGNE D'ORANGE AU BUIS LES BARONNIES

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LES LIGNES D'INTERET LOCAL ET LES TRAMWAYS

LA LIGNE D'ORANGE AU BUIS

Aurait 108 ANS!!

 

COMMENT EST NEE CETTE PETITE LIGNE DE CHEMIN DE FER CACHEE AU FIN FOND DU VAUCLUSE...?

la ligne Orange - Le Buis les Baronnies... l' O.L.B.

Alors que, en ce milieu du XIX eme siècle, de très nombreux projets d'aménagement ferroviaire existent en Vaucluse, peu d'entre eux concernent le nord du département. Zone à tendance rurale, difficile d'accès et faiblement peuplée, il ne semble pas pouvoir apporter un trafic justifiant la création de lignes de chemin de fer. 
Modernisme et industrialisation tardent à remonter les vallées encaissées, radialement au Rhône. Il paraît donc souhaitable pour les élus locaux que de vraies réponses soient apportées pour désenclaver le secteur. Pas ou peu d'industrie donc pas de chemin de fer... Pas de chemin de fer, pas ou peu de développement possible... C'est par le rail que doit arriver la prospérité. Or la "grande" Cie. du P.L.M. est déjà aux prises avec un certain nombre de constructions de lignes à fort potentiel ou imposées par le gouvernement dont le produit ne pourra, de toute évidence, être très important.
Le P.L.M. ne cherche donc pas vraiment à s'embarrasser d'un nouveau projet dont on se doute facilement qu'il sera déficitaire.
Ce sont donc, dans un premier temps, des initiatives privées qui ouvrent la voie. Puis le P.L.M. se verra contraint par l'Etat de prendre en charge cette ligne entre Vaucluse et Drôme. Ne nourrissant aucune illusion sur la rentabilité de l'entreprise, il s'exécutera de mauvaise grâce et en confiera l'exploitation à une Cie. fermière...

Les premières idées...

C'est M François Vigne (négociant en région lyonnaise mais nyonçais d'origine) qui le premier émet le voeu de réalisation d'une voie ferrée reliant Orange et Nyons, remontant la vallée de l'Eygues sur une digue. Nous sommes en 1860. Il demande, en parallèle, la concession de la ligne projetée. Mais sa proposition ne semble pas recevoir d'avis favorable, notamment du côté drômois.

Le principe même d'un chemin de fer construit sur une digue, paraît inadapté à cause des violentes et fréquentes crues de la rivière. La proposition tombe en léthargie. Elle ne réapparaît que cinq années plus tard. C'est un arrêté préfectoral qui relance le dossier, acceptant que des études complémentaires soient effectuées sur le projet de base, sur lequel vient se greffer le projet d'une liaison entre la vallée du Rhône, les Alpes et l'Italie. La loi de 1865 apporte un cadre nouveau et officiel en même temps qu'elle donne un minimum d'organisation à ces projets de chemin de fer.

On se lance dans l'aventure...

Une commission mixte Vaucluse/Drôme est crée à partir de janvier 1866 (à l'initiative du Vaucluse) pour engager des études conjointes de voies ferrées dans cette région du haut Vaucluse et de la Drôme méridionale.
Mais si en Vaucluse, on se dit prêt à accepter une chemin de fer à voie métrique, on en préférerait un "vrai", à voie normale, en Drôme...
Rien de vraiment nouveau ne sort donc de ces diverses commissions.

Ainsi, en 1872, un projet de ligne Vaison/Le Buis est proposé, greffé sur le projet initial... Mais l'enthousiasme retombe. Les administrations locales semblent bouder le projet. Pour autant, les édiles Vaisonnaises souhaiteraient "profiter" de la mise en place éventuelle d'une ligne de chemin de fer. Elles proposent dans ce but, appuyées par les élus de Crestet et Violès, en 1876, un contre-projet visant à faire circuler les trains dans la vallée de l'Ouvéze ou celle du Toulourenc.

Collection J. Mazet

LA GARE DE SABLET

Vue intérieure de la gare de Sablet.

Le projet serait inclus dans les études en cours d'une ligne entre l'Italie et la vallée du Rhône via Gap. Elle pourrait également se prolonger sur l'autre rive du fleuve en se raccordant à la ligne d'Orange à Alais, elle aussi à l'étude. Ainsi, en 1878, le Conseil Général de Vaucluse se trouve t-il face à 2 projets: Le premier (M Vigne) propose d'emprunter la vallée de l'Eygues, le second (proposé par les élus Vaisonnais) empruntant la vallée de l'Ouvéze. Ce dernier tracé serait, l'on s'en doute, plus favorable aux commune rurales du Vaucluse. L'année suivante, une délégation vauclusienne est mandée auprès de M de Freycinet afin de le convaincre du bien fondé de cette seconde proposition.

Une ligne devant relier Orange et Vaison est ainsi inscrite au "plan Freycinet" sous le n° 130 et immédiatement concédée au P.L.M.. Mais la Cie. ne se précipite pas sur l'étude de cette section...

LA GARE DE VAISON

LA GARE DE VAISON

Vues de la gare de Vaison.

Le décret du 18 juin 1880, confirme l'abandon du projet Vigne au profit de la proposition vauclusienne (alors que le 2 août 1886, la ligne de Pierrelatte à Nyons est concédée à titre définitif).

Mais pour le village de Séguret, rien n'est prévu! Aussi ses habitants signent-ils une pétition, reflet de leur mécontentement, et demandent-ils le déplacement de la gare prévue à Sablet de 500 à 600 m vers le Nord. 
Une enquête d'Utilité Publique est ordonnée sur l'avant projet de ligne Orange/Vaison par arrêté du 30 mars 1882. Les documents sont visibles du 10 avril au 10 mai. La commission d'enquête est réunie le 11. Durant cette période d'autres projets sont à l'étude, dont une ligne Orange/l'Isle sur Sorgue via Carpentras.
On propose également, en 1883, un projet de ligne en direction de Vaison, se raccordant entre Sarrians et Jonquiéres, sur la future liaison Orange-carpentras-L'Isle qui vient d'être concédée.

En mai 1885, les Conseils Municipaux de Carpentras et des communes environnantes proposent de modifier les projets initiaux Orange/L'Isle et Orange/Vaison pour qu'une jonction soit réalisée prés de Violès.
Proposition refusée par le Conseil municipal de Vaison en 1886, principalement à cause de la différence de l'écartement des voies projetées. Une proposition alternative de construction d'un chemin de fer d'intérêt local Orange/Le Buis et Orange/Carpentras avec embranchement vers Malaucène est avancée.

A partir de ce moment, deux personnalités locales, MM Paul Bonfils (maire du Buis, élu au Conseil Général de la Drôme le 12 août 1883) et Ferdinand Rolland (ingénieur de Sablet) vont prendre l'initiative des projets. Ils fondent ensemble le Syndicat libre du chemin de fer à voie étroite de Buis-les-Baronnies à Orange avec embranchement à Sablet sur Malaucéne et Carpentras. Le dit syndicat, demande, en août 1887, la concession du chemin de fer. Une brochure explicative est même diffusée, aux frais de M Bonfils. Le 3 octobre, la commission départementale de la Drôme ordonne une enquête auprès de 55 commune de la Drôme et 36 du Vaucluse. L'enquête fait apparaître un intérêt économique certain.
Pour autant la voie normale demandée n'est pas acceptée, tout au plus l'écartement métrique est retenu en remplacement de l'écartement de 0.75 mètre initialement prévu.

LA GARE DE VAISON

Vues intérieures de la gare de Vaison.

En juin 1888 une enquête d'utilité publique est ouverte dans le canton du Buis alors que, le 30 juillet, le Préfet de Vaucluse donne un avis favorable à la construction de la ligne.
Pour autant rien n'est gagné et les Conseils Généraux de la Drôme et de Vaucluse se prononcent, le 11 août, pour la prompte réalisation des lignes Pierrelatte/Nyons et Orange/ Vaison déjà déclarées d'utilité publique.
Rien n'est vraiment simple en ce qui concerne cette ligne.

Deux compagnies prétendent à la construction: Le P.L.M. d'une part et la Cie. des tramways du Buis de Rolland & Bonfils. Le 21 décembre 1888, ce dernier projet reçoit un avis favorable du Conseil Général de la Drôme puis les 4 janvier et 30 mai 1889, de la chambre de commerce d'Avignon. Le 23 avril, une convention est signée entre les Préfets des 2 départements et la Cie. Rolland & Bonfils pour la construction d'un chemin de fer à voie métrique Orange/le Buis avec embranchement sur Malaucéne et Carpentras. Mais le projet n'est pas concrétisé et, pis encore, la société Rolland & Bonfils est dissoute en mars 1890!

LA GARE DE VIOLES

La gare de Violes.

Le 16 avril 1892, la Cie. des chemins de fer de la
Drôme, en accord avec le P.L.M., dépose une demande de concession d'une ligne à voie métrique Orange/le buis. Le 10 août 1893, elle est finalement concédée au P.L.M.. La section Orange/Vaison est déclarée d'utilité publique.

On discute, on étudie... Le temps passe...

Des études sont entreprises à partir de juillet 1895 et une enquête d'utilité publique est ouverte à partir de 5 août, pour un mois.
La commission d'enquête est réunie juste après. Bien que la ligne ne soit pas encore en construction, une première "avancée" est enfin perceptible par le lancement des actions administratives.
Les communes discutent, les ingénieurs dessinent... Le temps passe... Le 16/07/1896, la section Vaison/Le Buis est à son tour déclarée d'utilité Publique. Le 2/09/1898, le Ministre des Travaux Publics approuve enfin le projet de tracé. Mais cela n'est pas le point final.
Les projets "rebondissent" et le siècle se termine sans que rien ne soit figé.

Quarante années se sont écoulées depuis la proposition de M Vigne!! Enquêtes et contre enquêtes se succédent. Dans le même temps un nouveau projet de "tramways départementaux de Vaucluse et de la Drôme" est lancé à l'automne 1899...

Pour l'instant, entre Orange et le Buis, le nombre et l'emplacement des gares sont l'objet d'âpres négociations.. En ce qui concerne Séguret, par exemple, le projet du P.L.M. comporte uniquement l'implantation d'une halte... Dont le Conseil Municipal réclame immédiatement le remplacement par une "vraie" gare...
Mais, loin d'accéder à sa demande, la Cie. propose la suppression de la halte prévue et son remplacement par une gare sur le territoire de... Gigondas!
Le 27/06/1899, le Conseil Municipal s'élève vigoureusement contre cette décision... Mais il s'avère que le P.L.M. à sacrifié l'intérêt général à l'intérêt d'un Général!
En effet, la gare proposée, au domaine de Saint André, est prévue pour répondre à la demande d'un personnage influent, le Général du Génie Coranson, propriétaire dudit domaine et qui souhaitait la construction d'une gare tout près de son domicile!

Les élus ségurétains n'ont alors de cesse de faire modifier ce projet. Pour donner plus d'ampleur à ces protestations, une lettre reprenant les termes de la délibération du Conseil Municipal est adressée aux parlementaires.
Finalement, le 15/08/1899, le Maire de Séguret peut annoncer à ses administrés que la halte prévue dans le village est maintenue, alors que la gare proposée à Gigondas est supprimée. la gare de Sablet retrouve son emplacement initial.
Le projet est avalisé par le Ministère le 27/01/1900. Il comporte donc une gare à Sablet, une halte à Séguret ("ouverte au service des voyageurs, bagages, chiens, articles de messagerie, y compris les denrées, finances et valeurs dont le poids n'excédera pas 100 Kgs par expédition; les expéditeurs et destinataires seront tenus d'aider à la manutention de leurs bagages, colis et messageries") et une gare à Roaix (sur le territoire de Séguret). Le 29/03/1902, le Ministre approuve les modifications de plans proposées par la Cie., en accord avec les commissions d'enquêtes.
Le jury d'expropriation est créé en avril 1902 (jusqu'en avril 1903 le ministère avalisera de nouvelles modifications de plans).
Le 19/12/1902, le Préfet désigne les propriétés à exproprier, le 23, le tribunal civil d'Orange prononce les expropriations.
En mars 1903, les avis d'expropriation et les propositions de rachat sont notifiés aux propriétaires.

LA GARE DE CAMARET

La gare de Camaret.

Les travaux peuvent enfin commencer...

Les travaux sont adjugés le 15 avril 1904 et exécutés à partir de 1905, sous la surveillance du P.L.M.. Le tracé est réalisé en "site propre", il n'emprunte aucune voie déjà existante.
Les chantiers sont ouverts, simultanément, autour de chaque village. La main d'oeuvre est trouvée localement, mais également constituée d'ouvriers étrangers (essentiellement des Piémontais).
Le nombre de ceux-ci provoque certaines frictions et même des conflits... En juin 1904, le Conseil Municipal d'Entrechaux demande l'installation d'une gendarmerie pour faire face à l'afflux d'ouvriers de nationalité Italienne... Nomades et maraudeurs...
Le 9 août 1904, des incidents se déroulent à Entrechaux où une centaine d'ouvriers venu de Pierrelongue, Molans, Vaison, etc se réunissent, drapeaux tricolore et... Gourdins à la main! Les chefs de chantier manifestèrent même au chant de 'l'Internationale". Il réclament l'application du décret Millerand limitant la proportion de travailleurs étrangers à 10% sur les chantiers de l'Etat... Des Italiens sont licenciés... L'affrontement est évité de justesse.

Le lendemain, 200 grévistes du Buis et de Mollans, se dirigent sur Sablet pour y chasser les ouvriers Italiens qui y travaillent.
A plusieurs autres reprises des actions similaires sont menées visant à réduire le nombre d'étrangers... Souvent abusivement et illégalement employés par les entrepreneurs et, en général, sous payés.
En 1905, 150 ouvriers se mettent à nouveau en grève... Cette fois au sujet de travailleurs Espagnols. D'autres incidents éclatent aux carrières d'extraction de Beaumont du Ventoux relatifs aux conditions de paiement...
L'ouverture des chantiers apporte également une certaine "animation" dans ces contrées un peu à l'écart... Il est à noter que c'est la pierre extraite des carrières de Séguret, qui est choisie pour la construction des ouvrages d'art, des gares et maisonnettes...

LOCOMOTIVE DE L'OLB

Vues intérieures de la gare de Violès.

Premiers terrassements et.... inauguration de la gare de Vaison...

Ca y est, le train circule enfin!

Les travaux sont réceptionnés le 29 avril 1907. Le directeur du P.L.M. et le directeur de la Société Générale des Chemins de Fer Economiques, qui va assurer l'exploitation de la ligne pour le compte du P.L.M., sont présents. De nombreuses personnalités et élus locaux participent également à la cérémonie.

Un train... Flambant neuf, quitte la gare d'Orange avec les officiels (auxquels un petit déjeuner a été offert au buffet) à 8 H 01 du matin. Il marque l'arrêt dans toutes les gares où se pressent, en grande tenue, les élus et les habitants des villages. L'événement est d'importance...
Le convoi arrive enfin à son terminus.. Il est 11 H 40. La ville du Buis est tout en liesse. Un banquet est offert par la municipalité. Puis, le train reprend le chemin du retour à 2 heures de l'après midi. Il arrive à Orange à 4 H 22. Les personnalités peuvent alors reprendre leur train pour la capitale. Le 4 mai, le ministre signe le procès verbal de réception définitive de la ligne.
L'exploitation peut officiellement démarrer à partir du 10.

Vues de la machine 3994 et de la 3995 au temps de l'exploitation...

LOCOMOTIVE DE L'OLB

LOCOMOTIVE DE L'OLB N°3995 A ORANGE

La première est prise en gare de Vaison, l'autre à Orange.

LOCOMOTIVE DE L'OLB EN GARE DE VAISON

LOCOMOTIVE DE L'OLB

Vues de machines au temps de l'exploitation... à Vaison et au Buis...

POUR LES "SPECIALISTES"... LA DESCRIPTION ET LE PROFIL DE LA LIGNE

L a ligne, à écartement métrique, est construite à voie unique. Elle prend sa source en gare d'Orange au PK 713,253 de la ligne impériale (Dans l'axe du B.V.). D'importantes installations y sont réservées au service de la ligne du Buis, dont un véritable dépôt. Des installations pour l'entretien des voitures et wagons sont également prévues pour le matériel à voie métrique. Il est à noter qu'en gare d'Orange, les voies métriques et normales s'entrecroisent grâce à des appareils de voie spécifiques.

Puis la ligne proprement dite prend son essor en direction du nord et se dirige vers la première gare, celle de Camaret (PK 5.759). La gare possède 3 voies à quai sur lesquelles les trains peuvent se croiser et une voie de débord pour les opérations de chargement et déchargement. La région est peu accidentée et les rampes sont comprises entre 2 et 10 pour 1000. Le trajet se poursuit jusqu'à la station de Violès (PK 11, ). les installations de cette gare, comme celles de Roaix, Malaucéne ou Entrechaux, sont simplifiées par rapport à celles de Camaret, Sablet ou Mollans. Les trains peuvent toutefois s'y croiser et une voie de débord permet les manutentions.

La ligne se dirige ensuite vers Sablet (PK 17.642) , non sans avoir auparavant traversé une première fois l'Ouvéze, sur un ouvrage métallique de 85 mètres de longueur. Dans ce parcours momentané sur la rive gauche, la voie doit affronter des rampes un peu plus prononcées, allant jusqu'à 20 pour 1000. Les 2 établissements suivants sont traversés très rapidement. La halte de Séguret (PK 20. ), simple gare de passage, sans voie d'évitement, et celle de Roaix (PK 22.5), un peu mieux équipée, se suivent à peine à 3 kilomètres l'une de l'autre.

L'Ouvéze est à nouveau franchie sur un magnifique pont en maçonnerie, et le chemin de fer pénètre dans les emprises de la gare de Vaison (PK 28.058). Cet établissement, de milieu de ligne, possède des installations importantes. Deux voies à quai assurent le service des voyageurs, 2 autres sont dédiées aux marchandises et une voie de débord permet les chargements et déchargements. Quand à certaines périodes les trains termineront leur parcours à Vaison, une plaque tournante sera rajoutée pour permettre le virage des machines. La gare est pourvue, également, d'un château d'eau d'une capacité de 100 m 3, alimenté par les eaux du Lauzon, conduites par une station élévatoire à vapeur (puis équipée d'une pompe à moteur diesel). Au sortir de l'ancienne ville romaine, la voie longe l'ancien théâtre, puis revient sur la rive gauche de l'Ouvéze. Le parcours devient très accidenté et les rampes assez sévères. Il ne reste plus en Vaucluse que les gares de Malaucéne-Crestet (PK 32, ) et Entrechaux (PK 34.5) qui se succèdent également en quelques kilomètres. Plusieurs ouvrages et un petit souterrain conduisent la ligne en Drôme.

Elle y croise les gares de Mollans-Propriac, Pierrelongue, franchit une dernière fois l'Ouvéze sur un superbe viaduc Eiffel, traverse la halte de Cost-Montbrun et Parvient à son terminus. La gare du Buis les Baronnies (PK 49.505) est pourvue d'importantes installations de remisage, entretien, tournage, ravitaillement des machines et des voitures et wagons. Le heurtoir de fin de ligne est placé au PK 49.700.

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A SUIVRE... Comment vivait-on autour de la petite ligne vauclusienne?...

 

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04/10/2007
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