LES HOMMES DU RAIL..
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Qui de nos concitoyens a été le premier voyageur Vauclusien?
Qui a osé "affronter" cette machine et, peut être, les reproches des anti-chemin de fer? Dans quelle conditions et pour quelle destination s'est-il embarqué? Quel expéditeur ou industriel vauclusien a, le premier, confié ses fruits ou ses produits au rail? Nul ne le saura jamais... Imaginons, toutefois, la curiosité des Sorguais, Orangeois, Courthezonnais, Bollennois... Venus admirer en gare, le départ du premier convoi, coup d'envoi d'un nouveau mode de vie, celui du progrès, de la technique toute puissante...
Photo R Long. Avignon années 50. (Coll J L Bezet)
Le chemin de fer constitue certainement le plus puissant outil jamais créé par l'Homme. Jamais création humaine n'avait modifié aussi profondément sa propre existence. Il existe pratiquement un "avant" et un "après" l'avènement du rail. Le chemin de fer va puiser sa ressource dans ses propres contradictions, influençant fortement la vie citadine ou rurale, la politique, l'économie...
Influence sur l'économie et le système bancaire... Contradiction entre l'économie privée des compagnies et le lien puissant avec l'Etat, attribuant les concessions de lignes et "jouant" du rail à sa guise. Comme l'utilisation par l'Etat des transports ferroviaires pour les besoins militaires dés la création des premières lignes... Cela modifiant profondément la stratégie militaire, au point de faire du rail l'enjeu de terribles combats voire même de transformer le chemin de fer en véritable arme...
Influence et contradictions vis à vis de la vie rurale. Le rail va desservir les campagnes les plus reculées... Pour un jour finir par faciliter l'exode rural et précipiter sa propre perte...
Influence et contradiction sur l'économie et l'industrie... Le chemin de fer est à l'origine de "l'explosion" de l'industrie de XIX eme siècle. Mais il en représente, dans un système "bouclé", à la fois le prestataire de service et le client privilégié. Que ce soit pour construire les lignes, fournir, entretenir et utiliser le matériel roulant, le chemin de fer requiert des millions de tonnes de fer et de fonte, des millions de mètres cube de pierres et de matériaux, des millions de tonnes de houilles et... Des milliers d'employés. Les industries, jusqu'alors petites ou moyennes, vont devoir se transformer en manufactures gigantesques (notamment dans la métallurgie). Que ce soit en Europe, en France ou bien dans le Vaucluse, les pôles industriels se délocalisent, la main d'oeuvre doit s'adapter aux nouvelles méthodes et lieux de travail...
Des activités industrielles ou commerciales "traditionnelles" (garances, balais, soufflets, carrières... etc.) "espèrant" trouver un allier dans le chemin de fer (pour faciliter la diffusion des produits) vont, par son intermédiaire, se heurter à une vive concurrence et parfois disparaître. Des activités nouvelles parfois les remplaceront...
Le train et la rapidité avec laquelle il déplace les hommes, permet aussi un "brassage" et une confrontation d'idées voire d'idéologies ouvrant une aire nouvelle. Les ouvriers face à ces évolutions rapides de leur mode de travail, de vie et de pensée, commencent à se regrouper en mutuelles, sociétés de secours, syndicats et autres groupements corporatistes. Depuis cette époque lointaine les cheminots, conscients de leur "toute puissance", constituent un monde intégré avec ses règlements, son identité et sa fierté propres.
Nous le verrons au fur et à mesure de la parution des articles, les compagnons du rail n'ont jamais boudé leur peine pour que vive leur Compagnie ou pour que "vive la France". Mais ils seront aussi parmi les catégories professionnelles les plus contestataires! Les mouvements sociaux dans les chemins de fer feront, plus d'une fois, vaciller voire chuter, les gouvernements. Le chemin de fer aura fonctionné, dans ce cas, comme un amplificateur ou un catalyseur des luttes sociales externes à son domaine... Le rail est encore aujourd'hui souvent utilisé, à son corps défendant parfois, par diverses corporations pour exprimer, en bloquant le passage des T.G.V. par exemple, leur mécontentement...
Ainsi donc, pour que ces voyageurs Vauclusiens aient pu s'embarquer dans les premiers trains, une multitude d'hommes avaient du travailler à construire les lignes et les gares et devaient maintenant faire fonctionner ces installations nouvelles... Les premiers cheminots de Vaucluse (bien que ce vocable n'existait pas encore à l'époque...).
Une fois les travaux achevés les toutes premières brigades de cheminots sont mises en place. Les chemins de fer n'auraient pu s'animer sans une présence humaine, sans une "âme". 31 693 ouvriers et employés sont salariés par les compagnies de chemin de fer en 1863, 138 213 en 1869... Derrière chacune des activités, derrière la prouesse technique, se trouvent des centaines d'hommes. Cadres, employés administratifs, roulants, sédentaires, apprentis, agents de l'équipement tous, véritables pionniers, allaient devoir assurer l'exploitation d'une entreprise totalement novatrice. Tel est le cas, par exemple, de MM Beautey et Geyler qui ont occupé les postes de chef et sous-chef de la gare d'Avignon, en 1854... Ou bien encore M Maguet, qui remplace M Geyler lors de sa mutation à Marseille...
Afin de se démarquer de la population "civile" les agents des chemins de fer sont vêtus d'un superbe uniforme à l'allure martiale (au moins les agents en contact avec le public). Celui du chef de gare est même quelques années orné d'un sabre! Ce sera là un des rares cas de personnalités à arborer ainsi des attributs militaires, démontrant la toute puissance de ces maîtres du rail. Bien entendu, et de manière à être toujours à pied d'oeuvre, le chef de gare est logé dans le bâtiment principal.
Les hommes de la Pacific... (Photo R Long )
Le règlement est, à l'instar de l'uniforme, quasi militaire. D'ailleurs, l'encadrement est fréquemment confié à d'anciens sous-officiers. La discipline est souvent "pesante" pour les hommes mais les Cies. sont les seules à garantir une stabilité de l'emploi et proposer une caisse de retraite (peu à peu les compagnies proposent également des bourses d'études (1890), des écoles, des centres d'apprentissage pour les enfants des agents. Elles proposent aussi des allocations spéciales pour charge de famille, des bibliothéques, des coopératives, des facilités de circulation, des cités et même des jardins...). Dans tous les cas le travail est pénible. Certains, comme Proud'hon, regrettent le temps de bateliers et rouliers "indépendants" et "libres". Dans "Les réformes à opérer dans l'exploitation des chemins de fer", publié en 1863, il invective ainsi les compagnies: "Quoi de plus morne que ces gares de chemin de fer? Quelle différence avec l'animation des quais, des ports, des places de roulage. A la veste des mariniers, à la blouse des rouliers a succédé un triste uniforme. Ces hommes sont dépersonnalisés, mécanisés, numérotés. Un seul sentiment les possède qui leur refoule l'ennui dans la gorge, la crainte. La locomotive siffle pour eux. c'est ainsi que l'on rend une nation pusillanime, qu'on la tue...". Il reprochait également au chemin de fer de supprimer des travailleurs qualifiés pour les remplacer par des manoeuvres "4 000 km de chemins de fer donneront à la France un supplément de 50 000 serfs...". Veuillot le souligne également: "Est il rien de plus triste qu'une gare de chemin de fer? Les employés, surtout, font peine, toujours secoués dans ce vacarme, toujours enchaînés dans ce tourbillon... Devant cette multitude d'hommes embrigadéset numérotés qui ne connaissent plus le jour du Seigneur et n'obéissent même pas à un chef qu'ils puissent aimer, serf d'une être collectif, l'administration, qui ne communique avec eux que par d'autres serfs dont ils reçoivent de brèves consignes...".
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Durant ces plus de 150 années d'exploitation du chemin de fer de nombreuses générations de cheminots se sont succédées pour servir courageusement et laborieusement le rail. Tous ont oeuvré sur les quais ou dans les divers bâtiments des gares tout au long des heureuses ou des pénibles périodes de l'histoire du rail. Nombre d'entre ces hommes, des plus humbles aux plus élevés, ont laissé des traces dans les dossiers d'archives ou dans les revues et documents que nous avons compulsés. Particulièrement aux moments de prises de nouvelles fonctions ou au hasard de mutations, lorsqu'ils avaient à prêter serment. Les noms de ces agents, évoqueront certainement pour de nombreux lecteurs un arrière grand-père, un grand-père ou une connaissance. Notons en passant que, si la gent féminine est peu représentée dans le monde du rail en général, la ligne du Buis les Baronnies y fera une notable exception. De nombreuses femmes y occuperont des postes y compris à responsabilités... La parité avant l'heure?
Si un nombre incalculable de cadres, ouvriers, mécaniciens, roulants ou sédentaires ont servi le rail Vauclusien depuis des décennies, il serait vain et certainement inutile de vouloir dresser une liste précise et exhaustive de toutes ces personnes. Pourtant, nous ne pouvons résister au plaisir d'exhumer de leur profond sommeil les noms de quelques uns parmi tous ceux des employés du chemin de fer. Derrière ce tableau quelque peu arride se cache en vérité toute la vie souvent bien remplie et toujours laborieuse de chacun de ces hommes. Ils nous ont transmis volonté et courage avant de quitter ce monde ne laissant pour seule trace qu'un feuillet jauni classé dans un vieux dossier poussiéreux. Puisse leur évocation leur redonner une parcelle de cette vie enfuie...
l'Homme toujours "au centre" de l'activité...
Comme nous l'avons évoqué plus haut, bien avant sa mise officielle en service, le chemin de fer avait attiré un nombre important d'ouvriers de toutes origines. Parmi ceux-ci certains ont élu domicile en Vaucluse et y ont fondé une famille. Nous avons relevé quelques unes de ces unions dans les archives de l'état civil Vauclusien qui nous montrent sans ambiguïté qu'au XIX éme siècle le chemin de fer déplaçait déjà les populations avant même d'avoir commencé à circuler... S'ils effectuent des recherches analogues d'aucuns y trouverons peut être la trace d'un lointain aïeul ou la souche de leur famille...
Enfin, évoquons la cantine pour les ouvriers du chemin de fer ouverte dés 1854 à Sorgues par le sieur Bénivady (par autorisation préfectorale)...
Bien sûr tous ces cheminots vont vivre au quotidien cette vie liée au chemin de fer. Une vie faite de bons ou de difficiles moments. Nous vous proposerons quelques exemples de cette vie quotidienne du rail Vauclusien... C'est arrivé un jour en Vaucluse
Les Vauclusiens à Paris, dont beaucoup travaillent au P.L.M..
De nombreux Vauclusiens ont du quitter leur région pour des questions professionnelles.. Notamment lorsqu'ils travaillent pour le P.L.M.. Nombre d'entre eux sont installés à Paris. Ils se retrouvent dans des cafés tenus par des "païs". A partir de 1902 certains se regroupent au sein d'une "Société amicale Vauclusienne" dont le siège se trouve au café du centre. Cette société organise une fête annuelle, présidée par un sénateur ou député Vauclusien mais aussi, chaque fin de semaine, une soirée familiale terminée par un bal ou un concert... L'occasion de reparler de son Vaucluse natal, de son village...
Travailler aux chemins de fer s'apparente presque à un sacerdoce... Vie dans une société "fermée", horaires décalés, sans dimanches, fêtes ou jours fériés... Et, pour le personnel roulant, les découchés... La famille subit donc aussi cette vie particulière et représente un soutien important pour les agents... Les revues corporatives comme "Le bulletin P.L.M.", "Notre métier", "La vie du rail", apportent également un soutien sous forme de conseils pour les épouses de cheminots... Un exemple ici, comment bien préparer le "panier" de leurs époux... Une nourriture roborative, mais aussi équilibrée et facile à transporter préparer et consommer, dans les foyers des dépôts...
+ de photos? Rendez-vous dans l'album...
LES HOMMES DE LA GARE D'AVIGNON en 1886...
INSPECTEUR EXPLOITATION: | . | GAZIER: |
Félix Carle | Paul Lubac | |
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CHEF DE GARE: | . | CHEF DE BUREAU: |
Charles Lamartinière | Louis Coste | |
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SOUS-CHEF DE GARE: | . | SOUS-CHEF DE BUREAU: |
Charles Mion | Jean-Baptiste Peyron | |
Emile Klobukowski | ||
Jean-Baptiste Marlien | ||
Marie Fabre | ||
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RECEVEUR: | . | COMMIS PRINCIPAUX: |
Charles Bertrand | Charles Sermand | |
Raymond Lestrat | Marc Moutin | |
Bressy | ||
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FACTEUR CHEF: | . | SOUS CHEF A LA STATISTIQUE: |
Ligouzat | Claude Parreau | |
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FACTEUR 1 CLASSE: | . | FACTEUR 2 CLASSE: |
Régis Prat | Félix Bourdelon | |
Victor Gay | Emile Capeau | |
Ferdinand Bonneau | Léon Comte | |
Eugène Vasseur | Joseph Maire | |
Marie Mèples | ||
LAMPISTES: | Pierre Gilles | |
Joseph Romajon | Jean Caillet | |
Joseph Barrot | Joseph Raoux | |
Jacques Taquet | Antoine Bruneau | |
. | Marius Ligouzat | |
COMMIS 1 CLASSE: | . | COMMIS 2 CLASSE: |
Adrien Serret | Philippe Bruneau | |
Ernest Ligouzat | Baptiste Guigue | |
Joseph Emery | Joseph Arnaud | |
Claude Fortias | Alexande Demézon | |
Théophile King | Dieudonné Setze | |
Claude Laurent | Emile Bonafoux | |
Louis Martin | Alfred Boulet | |
Jean Fournier | ||
Joseph Genevet | ||
PREPOSES A LA STATISTIQUE: | . | CHEFS A LA MANUTENTION: |
Joesoh Busquet | Hilarion Fargeon | |
Maurille Ginoux | Emile Genin | |
Louis Charay | ||
Pierre Ramain | . | PREPOSES A LA SALUBRITE: |
Charles Cèbe | Anne Ricard | |
Joseph Vittoz | Charles Casimir | |
PREPOSES A LA MANUTENTION: | . | CHEFS D'EQUIPES: |
Antoine Manéglio | Frédéric Sanier | |
Jacques Saurel | Joseph Pramayon | |
Pierre Vaux | René Fauquereau | |
Baptiste Laye | Louis Jacquemond | |
Jean-Adrien Gilles | Barthélémy Chasseau | |
Léon Croizier | ||
Louis Daurand | ||
SOUS CHEF D'EQUIPES: | . | AIGUILLEURS: |
Jean-Baptiste Martin | Adrien Aubert | |
Félix Colombier | Emile Boyer | |
Laurent Bouteille | André Blanc | |
Joseph Luyton | Eugéne Bernier | |
STATIONNAIRES TELEGRAPHE: | . | STATIONNAIRES TYER: |
Joseph Moreau | Vital Gillepinte | |
Maurice Cavène | Agricol Gontard | |
Joseph Carbonel | Ferdinand Chazalet | |
Paséal Favier | Jean Rounat | |
Jean Varnaison | ||
BRIGADIERS D'EQUIPES: | . | HOMMES D'EQUIPES: |
Joseph Saurel | Régis Bayle | |
Jacques Dumas | Pierre François Urbe | |
Pierre Renouard | Gaston Bouvier | |
Auguste Prat | Louis Imbert | |
Joseph Louis Saurel | Jean-Baptiste Ghirardi | |
Joseph Pellatier | Joseph Mestre | |
Pierre Gilles | Sébastien Amédée | |
Henri Vidal | Jacques Cartoux | |
Henri Drevet | Joseph Marin | |
Henri Guy | Jacques Brunel | |
Joseph Domergue | Jean Bouvet | |
François Roux | ||
HOMMES D'EQUIPES: | François Giraud | |
Jean-Joseph Valette | Joseph Fambon | |
Pierre Vignal | Aimé Delière | |
Théophile Rochas | Jean Marsaud | |
Joseph Mout | Antoine Starcelli | |
Jules Serettas | Théophile Seysson | |
Hippolyte Blanc | François Armand | |
Célestin Julien | Jean Bourget | |
Victor Brunel | Frédéric Ripert | |
Joseph Martin | Célestin Gaudibert | |
Adrien Deschamp | Pierre Audibert | |
Pacifique Fuzet | Joseph Taulemesse | |
Joseph Joanin | Gustave Fabre | |
Laetare Pradier | Antoine Bouscarle | |
Félicien Boissel | Auguste Beynet | |
Joseph Perrin | Symphorien Ribes | |
Honoré Estevenin | Pierre Morin | |
François Ponsard | Pierre Despeysses | |
François Lebrat | Antoine Granier | |
Pierre Jouve | Jean-Baptiste Mance | |
Joseph Eysseric | Claude Duclaux | |
Joseph Lunain | Bruno Laurent | |
Henri Benivady | Auguste Maillet | |
Achille Nace | Louis Santel | |
Raymond Saunal | Joseph Spies | |
Jean Falcon | Joseph Fraisse | |
Adrein Brachet | Pierre Bonfils | |
Hippolyte Giraud | Charles Dumas | |
Henri Fabre | Louis Garnier | |
Lucien Rouvière | Jacques Ferigoule | |
Jean-Baptiste Calvier | Alphonse Gontard | |
Jean Payan | Pascal Ferigoule | |
Louis Rouvière | Louis Rozier | |
Jean Thibaudier | Jean Blaizat | |
Antoine Mazoyer | Leon Barnerou | |
François Pellen | Camille Jullian | |
Marius Perche | Henri Galerati | |
Lucien Vallien | Denis Chastel | |
Antoine Allary | Joseph Vidal | |
Baptiste Corbin | Irénée Julien | |
Bruno Chanu | Antoine Chauvet | |
Joseph Carrier | Désira Guillermet | |
Laurent Astoux | Louis Chanal | |
François Roux | Adrien Tatin | |
Jean Siméon | Joseph Bourget | |
Jacques Béranger | ||
Soit 199 personnes employées à la seule gare d'Avignon!
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Autres pages :
- Les gérants de bibliothèques des chemins de fer.
- Les gérants des buffets de gare.
- La vie aux passage à niveau.
- M G A Saboteur au triage.
- M J B chef de gare.
- M Bardel chef de gare.
- Mme J S Garde-barrières.
- M R P Mécanicien de route.
- M E B Mécanicien de route.
- Cheminots et Résistants.
- Les cheminots Vauclusiens à l'Honneur.
- Chemins de fer et intempéries.
Autres sites et documents:
- Correspondances ferroviaires N°5.
- Au fil du rail. M L Armand.
- Revue Historail n°22 (2012) Témoignage de M L Armand.
- Revue Historail n°8 (2009) Hygiène et santé des cheminots.
- Revue Histoire des Chemins de Fer (2007)
- Revue Histoire des Chemins de Fer (2007)
- Revue Histoire des Chemins de Fer (2007)
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- Revue Histoire des Chemins de Fer (2007) Images et icônes.
- Avignon TGV, toute l'année sur le pied de gare (La Provence).
- Nicolas Nazari, nouveau chef de gare d'Avignon (Avi News).
- Hommes et choses du PLM (1911) (pdf).
- Cheminots retraités gare d'Orange.
- Cheminots le film.
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- Dernier train le film.
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- Gens du rail (2010) éditions Privat)
- Les cheminots (ed Trinckvel)
- Les uniformes anciens.
- Ateliers et dépôts du monde ferroviaire RHCF
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cheminots de Vaucluse par fanaplm84
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